L'ARGENT COLLOÏDAL
UN TRAITEMENT NATUREL CONTRE LE VIH / SIDA ?
À l'heure où l'OMS indique qu'il y a plus de 37 millions de malades du SIDA dans le monde, avec 2 millions de personnes contaminés dans le monde en 2014 et 1,2 millions de morts la même année*(1), il semblerait que le seul remède efficace soit ce qu'on appelle communément les antirétroviraux, l'AZT étant le médicament le plus connu d'entre eux.
Environ 40% des malades en bénéficient à ce jour. Malheureusement, les anti-rétroviraux ne guérissent pas du SIDA, ils permettent simplement de prolonger la vie d'après l'organisation mondiale de la santé.
Cependant, au vue des dernières recherches prometteuses sur l'argent colloïdal, ceci mérite que l'on se penche un instant sur la capacité de l'argent colloïdal à vaincre le VIH.
Pour rappel, le VIH signifie "Virus d'Immuno-déficience humain", c'est ce qu'on appelle un rétro-virus, qui a une période d'incubation de nombreuses années, et qui va affaiblir progressivement le système immunitaire.
Vous pouvez donc être atteint du VIH sans toutefois vous en rendre compte, les effets secondaires étant quasi imperceptibles.
Une fois que le système immunitaire a atteint un niveau critique, on bascule dans ce qu'on appelle le SIDA (Syndrôme d'Immuno-déficience Acquis), votre corps ne peut plus lutter par lui-même contre les pathologies les plus begnines.
Il faut donc être atteint du VIH en premier lieu pour avoir le SIDA - il faut noter que certains chercheurs et professeurs indiquent qu'aucune étude ne montre de lien entre le VIH et le SIDA*(2).
A la question: est-ce que l'argent colloïdal a un impact positif sur le VIH? Nous avons réunis plusieurs études et témoignages qui s'accordent à dire, qu'in vivo (vivant: exemple souris) et in vitro (tube) qu'il y a bien un effet virucide de l'argent colloïdal sur le VIH.
01
04
07
Trois cas humains pour lesquels les protéines d'argent ont réduit drastiquement la charge virale*(5)
05
03
Étude in vitro sur le mode de fonctionnement des nanoparticules d'argent sur l'inhibition du VIH*(2)
02
SOMMAIRE
06
01 Étude in vitro sur l'effet inhibiteur de l'argent colloïdal sur le VIH
Dans cette étude américaine, publiée dans le "Journal of NanoBiotechnology", les chercheurs ont conclu que l'ajout de nanoparticules d'argent aux 4 différents anticorps testés ont significativement augmenté la puissance de neutralisation dans la croissance de la cellule associée à la transmission et l'infection du VIH-1. En d'autres termes, l'argent colloïdal aide les anticorps à lutter plus efficacement contre les cellules infectées par le VIH.
Selon eux, plus de recherches sont nécessaires. Ils estiment qu'il est également nécessaire d'évaluer la toxicité in vivo des nanoparticules d'argent avant qu'elles puissent être incorporées dans les crèmes vaginales antivirales.
Or, l'institut Katharos a vu que la toxicité de l'argent colloïdal in vivo a déjà été testée, l'argent colloïdal s'attaquant uniquement aux pathogènes sans nuire aux cellules saines de l'être humain
02 Étude in vitro sur le mode de fonctionnement des nanoparticules d'argent sur l'inhibition du VIH
Dans cette 2ème étude publiée dans le même journal que l'étude précédente, les chercheurs s'intéressent cette fois-ci au mode de fonctionnement de l'argent colloïdal dans son inhibition du VIH, indiquant que les effets des nanoparticules sur l'inhibition étant prouvé.
Les données suggèrent que les nanoparticules d'argent exercent une activité anti-VIH à un stade précoce de la réplication virale, la plupart probablement comme agent virucide ou comme un inhibiteur de l'entrée virale.
Les nanoparticules d'argent se lient à la gp120 d'une manière qui empêche la liaison dépendante du virion CD4, sa fusion, et l'infectiosité, agissant comme un agent virucide efficace contre les cellules non infectées (souches de laboratoire, les isolats cliniques, souches T et M tropiques, et les souches résistantes) et le virus associé aux cellules.
Les chercheurs concluent que du à ce mode de fonctionnement, il est peu probable que le VIH développe une quelconque résistance.
03 Étude sur des préservatifs enduits d'argent colloïdal pour lutter contre les MST, dont le VIH*(3)
Dans cette étude extrêmement intéressante et publiée dans "l'International Journal of nanomedecine" en 2012, les auteurs de l'étude ont remarqué que les préservatifs doté d'un revêtement d'argent colloïdal ont permis d'inhiber le taux d'infection du VIH et de l'Herpès.
Selon les auteurs de l'étude:
"Le nouveau préservatif à base de nanotechnologie promet d'être plus puissant que les produits de première génération."
Par ailleurs, les chercheurs ont également montré que le préservatif a pu inhiber la croissance des bactéries et des champignons.
04 Étude sur la capacité de filtres d'eau en argent à améliorer la vie des personnes atteintes du SIDA*(4)
Cette étude de grande qualité présente un essai randomisé et contrôlé qui évalue la mise en place dans un ménage d'un filtre à eau en céramique imprégné de nanoparticules d'argent pouvant potentiellement améliorer la qualité de l'eau potable. Le pays dans lequel a lieu l'étude est l'afrique du Sud.
Le taux de diarrhée en moyenne dans le groupe de contrôle était de 0,064 jours / semaine, comparativement à 0,015 jours / semaines dans le groupe d'intervention.
Autrement dit, les habitants qui ont vécu avec un filtre en argent ont eu un incidence de diarhée plus de 4 fois inférieure au groupe de contrôle (sans filtre en argent).
Il est donc possible d'améliorer significativement la qualité de vie des personnes atteintes du SIDA en Afrique du Sud avec des mesures peu côuteuses.
05 Trois cas humains pour lesquels les protéines d'argent ont réduit drastiquement la charge virale*(5)
Ce papier scientifique regroupe le cas de 3 personnes qui ont suivi un traitement sur plusieurs semaines à base d'intraveineuses de protéines d'argent. Les protéines d'argent sont une autre forme d'argent qui est moins efficace que l'argent colloïdal. De plus, il a été rapporté par le passé que les protéines d'argent pouvaient causer le phénomène d'argyrie.
Les résultats furent surprenant, étant donné que la charge virale s'est effondrée à la suite de plusieurs injections en intraveineuses de protéines d'argent à des concentrations variant entre 40 et 400 PPM.
Voici en image l'impact sur un des patients, nommé AP, des protéines d'argent sur la charge virale de l'individu:
06 Plusieurs brevets américains déposés pour lutter contre le VIH avec des produits novateurs à base d'argent*(6)
Après quelques recherches, nous avons pu retrouver des informations par rapport à plusieurs brevets déposés par des sociétés américaines, l'un fut déposé en 1994, l'autre en 1996. Le plus ancien brevet consiste en une machine générant des ions d'argent qui vont cibler les différents agents pathogènes, VIH compris:
"Ce brevet est pour un semi-conducteur moléculaire d'argent qui a pour vocation d'être utilisé pour détruire le virus du SIDA, en détruisant les pathogènes synergiques du SIDA et en supprimant les éléments entraînant l'immunodéficience chez les humains.
Une injection intraveineuse unique via ce dispositif est tout ce qui est nécessaire pour noter une efficacité à des niveaux d'environ 40 ppm de sang humain.
Le cristal moléculaire de l'appareil contient deux mono et deux ions trivalents d'argent capables de tirer des électrons entraînant l'électrocution du virus du SIDA ainsi que des agents pathogènes. L'appareil est non-toxique. Cependant, ils entraînent un certain stress sur le foie provoquant une hépatomégalie, mais aucune perte de la fonction hépatique n'a été enregistrée."
Le deuxième brevet consiste en une autre machine également capable de détruire les agents pathogènes, VIH inclus d'après le déposant, suite à l'insertion d'électrodes d'argent dans le sang du patient.
"Ce brevet consiste en un procédé et un appareil pour détruire les agents pathogènes transmissibles par le sang qui utilise une intensité de courant directe bas pour générer des particules positives de divers métaux qui détruisent les agents pathogènes viraux.
Une première électrode constituée d'un métal tel que l'argent qui est introduit dans le système veineux d'un patient. Puis, une seconde électrode est placée à l'extérieur du patient à proximité de la première électrode. Un courant continu de faible intensité est appliquée à la première électrode métallique qui libère des cations d'argent, ce qui entraîne la dénaturation du virus. La première électrode est placée dans le système veineux du patient infecté par l'intermédiaire d'un cathéter."
Ces deux générateurs d'argent font penser aux travaux du Dr. Robert O. Becker qui fit des expérimentations concluantes en introduisant les électrodes directement dans le corps de ses patients, qui produisaient des ions d'argent antipathogènes.
07 Témoignage du Dr Bob Beck
Pour finir voici l'excellent témoignage d'un autre docteur, Bob Beck, qui passa la dernière partie de sa vie à promouvoir l'argent colloïdal dans des conférences gratuites qu'il menait auprès des citoyens américains.
Dans la vidéo (en anglais), il fait mention des travaux du docteur Steven Cully menée dans l'université de médecine Albert Einstein et publiés en 1991 dans la revue "Science News". Le docteur et son équipe ont mis des électrodes d'argent dans une boîte de Petri remplie de sang humain et du VIH et constatèrent que le virus d'immunodéficience humain ne pouvait plus s'aggriper aux cellules saines humaines.
Pour aller encore plus loin, voici un excellent papier de recherche en anglais mettant en avant les nanoparticules d'argent et leurs effets sur le VIH et le SIDA.
Et pour vous procurer un argent colloïdal de qualité, nous vous invitons à visiter notre boutique.
SOURCES
01. Étude 1 synergies anticorps et argent colloïdal sur le VIH
02. Étude 2 sur le mode de fonctionnement de l'argent colloïdal sur le VIH
03. Étude 3 sur les préservatifs enduits d'argent colloïdal pour lutter contre les MST
05. 3 Études de cas montrant les effets des protéines d'argent sur la charge virale du VIH:
06. 2 brevets américains:
http://www.google.com/patents/US6066489