COMMENT L'ARGENT TUE T-IL LES PATHOGÈNES ?
À PROPOS
Malgré les centaines d'études qui ont été conduites et qui ont prouvé l'efficacité de l'argent colloïdal sur plus de 650 virus et bactéries, les chercheurs se posent encore des questions sur les principes de fonctionnement exacts qui permettent la destruction des pathogènes.
Il existe cependant de nombreuses théories qui expliquent ce phénomène, de la désactivation des enzymes des microbes à l'inhibition de la reproduction des bactéries via l'ADN.
Ce qui est vrai pour l'argent colloïdal est vrai pour de nombreuses maladies ponctuelles ou chroniques: comme pour le cancer, il existe de nombreuses interrogations sur son principe de fonctionnement. De nombreuses hypothèses existent et le débat est toujours ouvert auprès des différents chercheurs.
Voici une des explications ayant fait son chemin: la présence d'argent colloïdal près d'un virus, champignon, bactérie ou tout autre pathogène unicellulaire désactive son enzyme génératrice d'oxygène, son poumon chimique, en quelque sorte.
Au bout de quelques minutes, l'agent pathogène est étouffé et meurt, et est ainsi évacué du corps par le système immunitaire, système lymphatique et système d'élimination.
Contrairement aux antibiotiques pharmaceutiques, qui détruisent les enzymes bénéfiques, l'argent colloïdal laisse ces enzymes et les tissus cellulaires intactes, car celles-ci sont radicalement différentes des enzymes primitives unicellulaires pathogènes.
Selon l'immunologic research foundation, "l'argent colloïdal détruit bactéries, virus et autres microbes d'au moins 3 manières, menant toutes à la désactivation de l'ADN et des protéines de la bactérie, sans dommage sur les tissus:
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Perturbation des protéines membranaires externes des organismes pathogènes
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Désactivation des enzymes des bactéries
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Inhibition de la reproduction des bactéries par association avec leur ADN"
SOURCES
01. Étude publiée au Etats-Unis en 2010 dans le "Journal of biotechnology": Mode d'action antivirale des nanoparticules d'argent contre le VIH-1
02. Étude effectuée à la "Kyungpook National University" en 2010 en Corée du Sud: Activité antifongique et le mode d'action de nanoparticules d'argent sur Candida albicans
03. Étude menée dans la "Guangdong Provincial Key Laboratory of Microbial Culture, Applied Microbiology and Biotechnology": Activité antibactérienne et Mécanisme des nanoparticules d'argent sur Escherichia coli