Il existe de nombreuses études démontrant l'activité antibactérienne de l'argent colloïdal sur la bactérie E-coli, qui est de loin la plus étudiée quant on en vient aux nanoparticules d'argent.

 

Dans cette étude clinique menée à l'Institut de Guangdong de microbiologie à Guangzhou, en Chine, et publiée en 2010 dans le journal "Applied Microbiology and Biotechnology", les chercheurs ont étudié l'activité antibactérienne de nanoparticules d'argent contre E. coli, ainsi que le mécanisme par lequel les nanoparticules d'argent ont des effets inhibiteurs et bactéricides.

 

Les auteurs en viennent à la conclusion suivante:

"Les résultats combinés suggèrent que les nanoparticules d'argent peuvent endommager la structure de la membrane de la cellule bactérienne et déprimer l'activité de certaines enzymes membranaires, qui provoquent la bactérie E. coli à mourir... Pour la première fois, nous offrons des preuves pour indiquer que les nanoparticules d'argent peuvent inhiber la croissance bactérienne et même tuer les cellules à travers la perméabilité bactérienne de la structure membraneuse."